viernes, 5 de septiembre de 2014

Paysage romantique



paiture par  Butay Jean-Baptiste  "Vue de Pau et du gave" 1er quart 19e siecle

30 septembre 1817
Cher journal,
           S'éloignant du château dans lequel j'avais habité pendant six mois travaillant comme le peintre officiel du roi, je décidai de faire un dernier croquis du magnifique paysage que je contemplais. C'était la dernière fois que j'allais voir ce magnifique château car il allait être détruit quelques mois après mon départ. Finalement je décidai de prendre ma plume et commencer à tracer ligne par ligne en dessinant ce magnifique paysage. J'étais trop triste de partir mais j'allais finalement revoir ma famille. Dans le moment de partir mes émotions étaient compliquées. Une partie de moi voulait aller chez mois avec ma famille l'autre parti de mon cerveaux me disait que j'avais une très bonne vie en vivant avec le roi. Finalement je me suis dit que je devais retourner et continuer avec ma vie.
       Pendant les six mois, j’avais travaillé comme le peintre du roi et j’avais fait quatre-vingt peintures du roi et sa famille. Ma première peinture fut catastrophique, je me rappelle d’avoir fait le roi très gros dans une position horrible. Finalement, mes dernières peintures étaient magnifiques et le roi les aima fortement, en plus il me dit que qu’il voulait me voir dans son nouveau château l’année prochaine pour continuer mes peintures. Je dois aussi confesser que faire des peintures n’est pas l’unique chose que j’ai fait. Je suis dévasté de dire que pendant quatre mois j’ai vu une femme de vingt-sept ans, c’est á dire que j’ai maintenu des relations sexuelles. Pendant ce temps je pensais à mon épouse mais cette femme appelle Marine Martin, une belle femme avec des longs cheveux blondes et une peau très blanche. Je ne sais pas qu’est-ce que je vais faire avec Marine mais maintenant j’ai un long voyage.

Kiernan Blif

domingo, 24 de agosto de 2014

L'ALBATROS Charles Baudelaire

L'Albatros


Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.


À peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!


Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'arche
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.


Charles Baudelaire



L'albatros es un de plus connus poème du recueil Les Fleurs du mal (1861) de Charles Baudelaire.
Charles Baudelaire Charles-Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867 (à 46 ans). Baudelaire appartient à quelques mouvements comme le romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité » Baudelaire est reconnu comme un des plus grands poètes de l'histoire.
Dans le poème Albatros, Baudelaire le suffriment de l'albatros qui ne peut pas voler, mas dans le final, l'albatros lève ses ailes et commence a voler. Ce poème montre que dans la vie, se que les personnes pensent n'importent pas, mais ce qu'importe est ce qu'on pense de nous mêmes et ce qu'on peut faire en revant.
Albatros, un poème définitivement à lire et à apprécier.